Pourquoi j’ai choisi la massothérapie et ce que cela signifie pour moi
Je pratique la massothérapie, car je crois profondément à l’importance de prendre soin de son corps avant qu’il ne crie
J’ai choisi de devenir massothérapeute parce que j’ai vu, de très près, les effets d’un manque de prévention sur le corps humain.
J’ai vu des proches souffrir inutilement, attendre d’avoir trop mal pour agir, consulter trop tard, accumuler fatigue, douleurs, tensions, sans jamais trouver de solution durable.
J’ai aussi vu des traitements techniques, parfois brillants, échouer simplement parce que le corps n’avait jamais été écouté globalement.
Cela m’a marqué. Cela m’a fait réagir. Je me suis dit que je pouvais faire quelque chose. Que je pouvais apprendre à lire le corps, à sentir ce qu’il dit, à le relâcher, le réaligner, le décongestionner avant que la douleur ne s’installe. Pour beaucoup de gens, c’est déjà trop tard quand ils arrivent.
Mais il n’est jamais trop tard pour réinformer le corps.
J’ai choisi cette voie car elle me permet chaque jour d’avoir un impact concret, positif, durable sur la vie des gens.
J’aime quand on me dit :
« J’avais oublié que je pouvais me sentir aussi bien ».
J’aime quand quelqu’un se redresse, sourit, respire. C’est pour ça que je fais ce métier. Parce que je sais que ce n’est pas un luxe. C’est une base.


Mon parcours : entre transmission, pratique et conscience corporelle
Depuis toujours, j’ai eu une grande sensibilité au langage du corps.
J’ai appris très jeune à observer les postures, les décalages, les tensions. Plus tard, j’ai choisi de me former aux techniques de massothérapie, de reboutement moderne et de réajustement global, mais également en hypnose, en comportementalisme, et en éducation corporelle. J’ai passé des années à observer, tester, apprendre, affiner.
J’ai formé des médecins, des kinés, des ostéopathes. J’ai appris autant qu’eux, parfois plus, dans ces échanges. Mon approche ne sort pas d’une seule école. Elle vient du terrain, de l’expérience, de la pratique réelle sur des corps vivants, fatigués, tendus, abimés mais encore capables de changer.
Aujourd’hui, je suis installé à Saint-Just-en-Chevalet (42430) et je propose des séances de soin global du corps, respectueuses, profondes, ancrées dans la pratique.
Ce que je vous offre, ce n’est pas un massage de confort. C’est un rendez-vous avec vous-même, pour remettre les choses en place, en douceur et en conscience.